samedi 27 avril 2019

La piqueuse de mec - Part 1

LA PIQUEUSE DE MEC (partie 1)
Avis aux voleurs de texte : tous mes écrits sont protégés. Merci.
Lorsque tu grandis dans un environnement respectable, avec des valeurs qui nous empêchent volontairement de contrarier ou de faire du mal à autrui, tu crois que tout le monde est comme toi.
Mes parents m'ont tout appris, mais ils ne m'ont pas dit que dans d'autres maisons l'éducation n'est pas la même, ils m'ont appris à rester digne quoi qu'il arrive, mais ils ne m'ont pas dit que le dehors mauvais avec un fonctionnement de jungle, où certains pensent que les coups bas les rendront plus forts que leurs victimes.
Je m'appelle cassy, j'ai rencontré Larissa à Istag, université privé à Yaoundé, je faisais 1ère année en action commerciale, et elle 1ère année en commerce international.
De prime à abord, elle paraît être une fille bien. Malgré cela, mon sang n'a pas collé avec elle, mais je me suis dit "Cassy arrête de voir le mal partout, tu ne la connais même pas" j'aurais dû écouter cette petite voix qu'on a tout au fond de nous, mais qu'on n'écoute pas souvent.
Larissa par contre avait l'air de m'apprécier, elle était tout gentille et toute mignonne envers moi. Lorsqu'on se retrouvait à l'amphithéâtre, elle n'était jamais loin, toujours entrain de rigoler de nos blagues.
Au restaurant scolaire durant nos pauses, elle offrait parfois des jus. Mes camarades, qui n'aimaient pas dépenser, me demandaient d'accepter et d'être moins dure avec elle. C'est ainsi que petit à petit nous devenions des amies.
La gentillesse était vraiment une de ses qualités sauf, qu'elle le faisait seulement avec une catégorie de filles qui finissait par l'apprécier et devenir amie avec elle. Un jour, durant nos discussions, je lui fis une remarque:
Moi : ma coo j'ai l'impression que toutes tes amies ont le même profil, toujours bien mises, elles se la pètent pas mal (j'avoue que je me vantais jusqu'à 😂 ) bref elles n'ont pas faim.
Elle : la vie m'a appris une chose, ne pas me mélanger avec tout le monde, c'est une source de problèmes. Je préfère être avec des filles qui socialement parlant, sont sur la même longueur d'onde que moi, ou qui me dépassent . Ainsi y aura pas de jalousie et de convoitise. Je suis fatiguée des envieuses dans ma vie.
Moi : tu te trompes hein, lorsque t'es avec une qui te dépasse, elle s'habitue tellement à être au-dessus de toi que, le jour où tu évolues un peu, elle se sent menacer. Ça aussi, c'est une sorte de jalousie !
Elle : je préfère être jalousée par mon supérieur, ça prouve que je suis sur la bonne voie et que j'ai quelque chose en moi qu'il faut développer. Au moins j'aurais appris des choses.
Moi : mais tu crois qu'une fille que tu dépasses ne peut rien t'apprendre ou t'apporter ? N'oublie pas qu'on a toujours besoin de plus petit que soi .
Elle : combien d'entre elles vont t'apporter un plus ? De part mon expérience, je préfère être tirée vers le haut que d'être entraînée vers le bas, je suis fatiguée des envieuses, elle m'ont causé trop de tort dans le passé.
Du coup, mes camarades qui m'encourageaient à être amie avec elle ,l'appreciaient de moins en moins lol, ce n'est pas vous qui m'aviez traité de fille trop dure? lol le fusil a t'il changé d'épaule? 😂
Dans ma filière, il y avait un professeur que je n'aimais pas, il passait le temps à draguer les étudiantes et ça j'ai horreur. Nos parents déboursent près d'un demi-million l'année pour venir apprendre et par contre vous êtes là pour détourner les enfants des gens.
Le pire, c'est qu'il faisait des avances aussi aux filles fiancées et femmes mariées. Oui, à la fac, il y a des filles qui sont déjà mariées. Bref, ce type était sans aucun scrupule. À part être professeur, il était aussi parmi les directeurs de cette école, ce qui lui donnait un petit peu la côte .
Je ne l'aimais pas ! Et il le savait, car je le lui montrais bien. Par exemple, lorsqu'il lance des blagues pendant le cours, toute la classe rigole sauf moi, au contraire, je lève les yeux au ciel en signe d'agacement.
Il nous dispensait la cour de "situation professionnelle" un truc de ce genre, les anciens étudiants d'istag venez dire le nom exact de cette matière SVP. Avant d'accéder à cette école, je n'avais jamais entendu parler de cette matière.
Néanmoins, je respectais les consignes. Les étudiants ce jour devaient s'habiller comme des travailleurs d'une structure respectueuse. Je me pliais à ça. Pas de jean, talons hauts, certains étaient même en costume et tailleurs.
J'étais assidue à ses cours, c'était l'une des matières que je trouvais facile, mais je n'aimais pas ce prof ! Il avait toujours quelque chose à redire en ce qui me concernait, toute la classe savait que c'est parce que ce monsieur me trouvait inaccessible.
Un coup, il trouvait que mes talons font trop de bruits, sur 20 questions posées durant le cours, il m'interrogeait 10 fois et pourtant, il y avait 60 étudiants dans la salle.
Un jour, je m'étais levée du mauvais poil, il a fait ce qu'il avait pour habitude de faire, c'est-à-dire m'interroger pour la énième fois, et j'en ai eu marre.
Lui : mademoiselle Cassandra. N pouvez-vous répondre à la question ?
Moi : monsieur, je n'ai pas demandé à prendre la parole.
Lui : oui, mais je vous interroge.
Moi : c'est au secondaire qu'on interroge au hasard, en fac l'étudiant qui veut intervenir demande la parole.
Lui : mademoiselle sortez, vous ne m'apprenez pas mon travail.
Moi : si vous maîtrisiez vraiment votre boulot, vous ne m'appelleriez pas mademoiselle sans connaître mon statut matrimonial.
Lui rigolant : qui peut épouser une enfant gâtée comme vous ?
Moi (rangeant mes affaires): certainement pas un vieux qui n'hésite pas à draguer ses étudiantes jusqu'aux femmes mariées.
Monsieur, vous feriez mieux de ne pas m'insulter sinon je ferai pareil, à moins que vous souhaitez perdre tout le respect que les étudiants ont pour vous.
Lui (rugissant): ne revenez plus à mes cours.
Moi : tant que ma scolarité est payée, je reviendrai. À moins que vous décidiez de me rembourser il y a siantou (un autre établissement scolaire) qui m'attend. À jeudi prochain monsieur.
Je suis sortie, ce qui m'empêchait de remettre cet homme à sa place, c'est le respect envers mes camarades. Mais je mûrissais l'idée de lui pourrir la vie au cas où il m'interdisait à l'avenir l'accès à ses cours.
Étant sur les nerfs, je n'avais même pas envie de patienter pour le prochain cours, alors je décide de rentrer à la maison. Une fois hors du campus, tout les taxis qui passaient étaient pleins. Et à moment, je vois une voiture s'arrêter de l'autre coté de la route.
À l'intérieur, il y a 2 monsieurs, celui qui est au volant me demande de venir,ils vont me déposer à destination. Pfff, je les regarde avec dédain, je les toise et continue à stopper mon taxi, ils sont partis ,enfin, je le croyais. Mais non, ils sont allés au rond-point tourner et sont venus garer devant moi. C'est le 2e monsieur assis à la cabine qui me dit bonjour, demande où je vais et me demande de monter. Je ne les calcule pas. Il descend de la voiture et vient.
Lui : bonjour ma chérie, je m'appelle Jea-claude
Moi : bonjour,
Lui : je veux juste vous déposer et faire connaissance.
Moi : je ne monte pas en voiture avec des inconnus.
Lui : tiens, voici ma carte, fais moi signe pour qu'on ne soit plus des inconnus ok ?
Il me tendit sa carte, je l'ai pris sans lire, et pendant qu'il montait dans sa voiture, voilà une camarade qui crie mon nom cassyyyy. C'est ainsi ce Jean-claude pris connaissance de mon nom et s'en alla.
Moi : mais flore qu'est ce qu'il y a à crier mon nom comme ça ?
Flore : j'ai cru que tu partais, tu fais quoi là ?
Pourquoi t'es pas en cours? Tu connais J.C. ?
Moi : oh oh oh une question à la fois ok? Le prof m'a mis dehors, ton J.C., je ne le connais pas il m'a juste abordé à l'instant. Mais toi, on dirait que tu le connais.
Flore : je le remarque, il sortait avec une voisine, c'est un homme gentil, à l'époque il y a 2 ans, il était actionnaire dans une société d'imprimerie un truc comme ça. Bon, je te laisse, je vais aller en cours.
J'ai finalement eu un taxi, je pensais à ce que flore venait de me dire, je sortis la carte de visite de Jean-Claude et effectivement, c'était écrit PDG des imprimeries X. Mes pensées se sont dirigées directement vers le stage académique qui m'attendait.
Le lendemain à l'heure de pause, je vis J.C. au loin qui discutait avec un étudiant, ensuite cet étudiant est venu vers moi me dire qu'il y a quelqu'un qui me cherche. Je suis allée avec une camarade très proche, (celle qui m'avait demandé d'être amie avec Larissa) , arrivées à sa hauteur ,il m'a demandé si j'avais déjà mangé et si ce n'est pas le cas, il m'invite au restaurant, et si j'ai peur, je peux inviter ma camarade avec qui j'étais. J'ai dit oui et nous sommes partis.
Une fois dans le restaurant, il s'est bien présenté, a parlé de sa structure et de sa vie. Il est dans la ville pour des contrats, car il a gagné certains marchés. Ça se voyait que je lui plaisais, mais il ne pouvait pas le dire devant ma camarade.
Il a demandé s'il pouvait me téléphoner en soirée, j'ai dit oui. Et je lui ai donné mon téléphone. De retour au campus, j'ai demandé à ma copine si J.C. l'intéresse ? Elle m'a dit, c'est un bon parti, mais elle n'est pas sûre d'être son style de fille.
J'ai longuement réfléchi à ce que je pouvais lui dire, car je ne pouvais pas sortir avec lui, j'avais quelqu'un dans ma vie (1), l'écart d'âge était grand. J'allais sur mes 20 ans et lui en avait 40 (2). Mais c'était le style de personne qu'il faut avoir dans son carnet d'adresses. Je cherchais le moyen de le garder en tant qu'ami et non comme un prétendant.
Lorsqu'il m'a téléphoné,on a longuement discuté :
Moi : tu sais J.C. t'es gentil, c'est vrai, mais je préfère être honnête envers toi. J'ai quelqu'un dans ma vie, et je n'ai jamais pu gérer 2 hommes à la fois, c'est une ligue qui m'a éliminé depuis longtemps.
Lui : merci de me l'avoir dit, ça prouve que tu es honnête. Une autre fille aurait accepté juste pour m'escroquer.
Moi : je peux te présenter quelqu'un si tu veux.
Lui : mais est ce qu'elle te ressemble? J'ai un type de femmes bien précis que j'aime.
Moi : on a presque la même taille, le même teint, la même corpulence.
Lui : ok, je rentre demain soir sur Douala. À votre pause de midi, je vous invite au restaurant ta pote et toi.
En fait, je pensais à Larissa, l'idée m'était juste venue comme ça. Elle avait un profil similaire au mien, excepté qu'elle avait un postérieur plus gros que le mien, et moi, j'avais une poitrine plus grosse que la sienne.
Le lendemain, je n'ai pas perdu le temps. Dès que je l'ai vu, j'ai directement abordé le sujet.
Moi : ma coo dis moi, tu es en couple ?
Elle : c'est quoi cette question ? Tu veux déjà m'envoyer en mariage ?😂
Moi : non lol, c'est juste que tu ne parles jamais de ton chéri, et je me suis dit que peut être, tu es célibataire.
Elle : et si je suis célibataire, tu vas me trouver un homme ? En tout ca ma belle, tant qu'un homme ne m'a pas épousé, je considère que je suis en CDD (contrat à durée déterminée), donc je continue à postuler partout jusqu'à ce qu'on me signe un CDI. (contrat à durée indéterminée)
Moi : hahahahaha tu vas me tuer un jour avec tes analyses, donc les relations humaines sont pareilles avec le travail ?
Elle : mais oui ! Tout ça, c'est le management.
Moi : je connais quelqu'un qui veut une chérie sérieuse. Sauf qu'il n'a pas notre âge, c'est un responsable.
Je me mis à lui raconter l'histoire dans les détails, pour qu'il n'y ait pas des zones d'ombre. Elle avait l'air intéressée.
Moi : je veux juste qu'il reste mon ami, il pourra m'aider pour mon stage académique.
Le rdv au restaurant s'est bien passé. Il est rentré dans sa ville, il m'appelait parfois pour prendre des nouvelles, et était bien content de la jolie fille que j'ai fait entrer dans sa vie.
Un jour, il m'a appelé pour me dire que sa société avait commencé à recevoir les demandes de stage et que je pouvais envoyer la mienne. Il a senti que j'étais soucieuse ;
évidemment, j'avais quelques soucis, qu'il s'est proposé de résoudre en m'envoyant de l'argent. Pour lui, c'était une façon de me dire merci de l'avoir mis en couple avec ma camarade.
Des jours après, lorsque je discutais avec Larissa,
Moi : ma coo ça se passe comment avec J.C. ?
Elle : trop bien, tu mérites un cadeau, il est super.
Moi : de son coté, il m'a remercié au point de me dépanner. Il est heureux avec toi.
Elle : je te dis ! L'autre jour, il a même réglé la scolarité de mon petit frère.
La vie a continué son cours, juste que je n'ai plus eu les nouvelles de J.C., à un moment, je me suis dit que sûrement, il est fatigué du fait que c'est lui qui appelle tout le temps. Sauf, j'ai appelé à plusieurs reprises, ça sonnait, mais il ne décrochait pas.
Insoucieuse que je suis, je me suis dit qu'il avait sûrement beaucoup de travail et j'ai laissé tomber.
2 mois après, je n'avais plus jamais demandé des nouvelles de J.C., même pas demander à Larissa comment la relation évoluait. Je pars du principe où, si quelqu'un veut que tu saches les choses de sa vie, elle-même viendra te raconter. Je n'aime pas poser des questions, car je n'aime pas qu'on m'en pose.
Puis, un soir mon téléphone sonne c'est J.C.
Moi : eeeeh le grand boss, tu as abandonné ta petite ! Je croyais que j'étais ton 10.( bref je lui fis toute l'atalakou que vous connaissez)
Lui : ma chère, je suis là , beaucoup d'évènements se sont passés.
Moi : J'espère que tu n'as pas eu un deuil hein. Je me disais que le travail t'absorbait.
Lui : oui beaucoup de travail. Mais bon, je voulais juste te dire de faire attention avec qui tu marches.
Moi (maboule) : marcher où ? lol
Lui : je parle de ta compagnie. T'es une grande fille, faut réfléchir et arrêter d'être naïve.
Moi : ok.
La conversation terminée, je ne comprenais rien ! Du moins, je voulais rien comprendre. Il parle de compagnie, sauf que la seule personne qu'il connaît de mon entourage, c'est Larissa.
J'aurais préféré qu'il me donne plus de détails, car ça m'aurait sauvé de plusieurs problèmes. Mais en cette période-là, je n'avais pas compris que les vrais hommes ne faisaient pas le kongossa comme des femmes.
Quelques temps après, elle me fait juste comprendre qu'ils ne se voient pas trop souvent.
Une autre fois, je lui ai présenté quelqu'un de bien toujours, après elle m'a dit que le gars parlait mal de moi. j'ai tellement insulté le pauvre au point où sa valeur était plus basse que le prix d'une bière.
Plustard, elle m'a dit qu'elle ne peut pas sortir avec lui parce qu'ils ne sont pas sur la même longueur d'onde.
Des mois plus tard, je suis en froid avec mon mec, il me faut sortir ,destresser et essayer de l'oublier vu que ce dernier s'est moqué de moi en mettant une fille enceinte.
Je regarde mon répertoire, il y avait un jeune homme avec un bon poste aux impôts, ça faisait juste 2 ou 3 ans qu'il avait fini son cursus à l'ENAM (école nationale d'administration et de magistrature), il ne se fatiguait pas de me courir après.
Je l'ai bippé et il m'a directement appelé tout content, nous avons papoter un bout, et il m'a demandé ce qu'il pouvait faire le week-end suivant pour me faire plaisir. je lui ai dit que je voulais sortir danser.
Il me donna le feu vert pour le choix du lieu. Presque toutes mes copines n'étaient pas disponibles ce soir là , sauf Larissa qui est toujours prête. elle a ramené une amie à elle avec qui j'ai eu beaucoup d'affinités, une fille super sympa. Mais sa copine était si différente des amies habituelles de Larissa. Elle se nomme sisi.
Le samedi soir,nous voilà au cabaret "la réserve" larissa me posait des questions sur celui qu'on attendait. Je lui ai juste dit que c'est un dragueur,et que si jamais elle est intéressée qu'elle me dise je vais en parler au gars.
Il est venu avec un ami à lui et nous sommes allés danser. mon chagrin, me rendait inaccessible, je voulais juste me défouler. Pendant qu'on dansait, je demande à Larissa ce qu'elle en pense, elle me dit non, il n'est pas son style.Les jours qui passaient rendaient mon dragueur plus intéressant, j'avais beau le chasser, mais il était toujours là. Et au final, je commençais à lui trouver peu à peu des qualités.
Un soir, une amie qui ne connaissait pas grand monde décide d'organiser son anniversaire, et me demande d'inviter quelques personnes pour aller au restaurant. Dans ma liste, je mets bien évidemment Larissa. Ce soir, elle vint sans sa copine. Nous étions au cabaret "le bois d'ébène" pendant que nous mangions et écoutions la musique, mon téléphone se mit à sonner, je décroche, mais je n'écoutais rien car trop de bruits.
Je décide de me lever direction: les toilettes pour m'isoler et discuter plus calmement.
Lorsque je sors des toilettes, je vois un mec qui me dit que c'est moi qu'il attendait. j'ai voulu crier SÉCURITÉ !
Lui : non, je ne te veux aucun mal, juste te parler 2 minutes
moi : parler à qui ?tu m'as bien regardé? Tchuiiiip
30 minutes après je vois le même gars qui se rapproche de notre table et discute à l'oreille avec larissa, chose normale vu qu'il y avait trop de bruit.Madame, lui donne son numéro orange, et 15 minutes après il revient ,madame lui donne cette fois ci son numéro mtn. quand le gars s'en va.
moi : mais je demande hein,tu donnes ton numéro à qui comme ça? Et en plus tes 2 contacts? un peu de sérieux là.
elle : tu ne sais pas ce que tu dis, il n'est qu'un tchinda (homme à tout faire) c'est un ministre qui l'a envoyé prendre mon contact.
moi: ah bon ? t'es sûre? qu'est ce qui te dit qu'il ne te ment pas juste pour avoir ton numéro? car ce même gars m'a suivi tout à l'heure aux toilettes.
elle : s'il s'avère qu'il ment, bah je le bloquerai.
moi: ok.
nous avons continué notre soirée, mais un mois plus tard, j'appends que ce ministre avait recommandé son tchinda pour prendre mon contact. Sauf que je ne lui ai pas permis de me parler.il s'est rapproché de larissa, car il fallait à tout prix mon numéro, ainsi, il pouvait obtenir un petit dépannage de la part du ministre. sauf que malheureusement, madame a donné son numéro à elle.
comment je l'ai su? pour le savoir partagez au maximum et je vous balancerai la suite

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